L’Hôpital Foch a ouvert un insti­tut entière­ment dédié aux douleurs gyné­cologiques. Il est com­posé d’une équipe pluridis­ci­plinaire prenant en charge les douleurs au féminin dans leur glob­al­ité qu’elles soient pelvi­ennes, vul­vaires ou périnéales.

Bap­tisé « Insti­tut David Elia », il souhaite ren­dre hom­mage à David Elia, grand nom de la gyné­colo­gie médi­cale française et qui avait par­ticipé à l’élaboration de ce projet.

Une équipe pluridis­ci­plinaire pour un accom­pa­g­ne­ment optimisé 

Elle est com­posée de spé­cial­istes en gyné­colo­gie, der­ma­tolo­gie, psy­cho-sex­olo­gie, médecine de la douleur, neu­rochirurgie, et en traite­ments physiques (laser, LED, radiofréquence, réé­d­u­ca­tion pelvipérinéale…). Cette équipe accom­pa­gne les patientes souf­frant de douleurs chroniques dans leur par­cours de soins :

- douleurs pelvi­ennes chroniques : endométriose, post-can­cer, post-chirurgie…

- douleurs vul­vaires et périnéales chroniques

- douleurs post-accouchement

- douleurs liées à la ménopause

- der­matoses vulvaires

- douleurs et sex­u­al­ité : douleurs aux rap­ports sex­uels, vaginisme…

Une prise en charge per­son­nal­isée sur un mod­èle de médecine intégrative 

Chaque patiente béné­fi­cie d’une con­sul­ta­tion d’évaluation et d’orientation, et un par­cours de soins coor­don­né lui est proposé. 

Des réu­nions de con­cer­ta­tion pluridis­ci­plinaires (RCP)

Elles per­me­t­tent la dis­cus­sion de sit­u­a­tions com­plex­es, et sont ouvertes aux pro­fes­sion­nels de san­té souhai­tant présen­ter et dis­cuter leurs dossiers.

  « Nous sommes fiers d’avoir ouvert notre ser­vice à l’un des pre­miers cen­tres français de prise en charge de la douleur gyné­cologique. Cette approche inno­vante per­me­t­tra à de nom­breuses patientes de béné­fici­er d’un suivi médi­cal com­plet, quelle que soit leur douleur. L’objectif est de pro­pos­er une prise en charge glob­ale et per­son­nal­isée grâce à une équipe com­posée d’éminents spé­cial­istes. Nous souhaitons apporter à nos patientes des répons­es pré­cis­es et un traite­ment adap­té à leurs besoins » explique le Pr Jean-Marc Ayoubi – Chef du ser­vice de gyné­colo­gie de l’hôpital FOCH.

Les spé­cial­istes au sein de l’Institut David Elia :

Pr Jean-Marc Ayoubi — Chef du ser­vice de gyné­colo­gie obstétrique FOCH

Dr Miche­line Moy­al Bar­rac­co – Dermatologue

Pr Pierre Mares – Gyné­co­logue au CHU de Nîmes

Dr Olivi­er Bre­deau – Médecin de la douleur

 Dr. Cather­ine Eychenne – Médecin lasériste

Dr. Nico­las Rygaloff – Médecin lasériste

Dr Rou­ba Mur­ta­da – Gyné­co­logue obstétrique

Dr Marie Car­bon­nel – Gyné­co­logue obstétrique

Dr Sil­via Hors­man- Médecine Générale, DIU de Gyné­colo­gie, DIU de Sexologie

Mme Hei­di Beroud Poyet – Psy­cho­logue sexologue

Mme Lucile Girard – Sage-femme sexologue

Pour pren­dre ren­dez-vous à l’institut David Elia, vos patientes peu­vent appel­er le 01 46 25 27 99, ou écrire à l’adresse email suiv­ante : centre-douleurgyneco@hopital-foch.com

La Mai­son Médi­cale de Garde est ouverte :

  • du lun­di au ven­dre­di de 20h à minuit
  • le same­di de 16h à 24h
  • le dimanche (et Jours Fériés ) de 9h à 19h

Elle est située au sein des Urgences de l’Hôpital Foch, 39 rue Mer­lin de Thionville à Suresnes.

A l’occasion de la journée mon­di­ale de la mal­adie de Parkin­son qui a eu lieu cette semaine, le ser­vice de neu­rolo­gie de l’Hôpital Foch dirigé par le Doc­teur Bertrand Laper­gue a pro­posé à l’ensemble de vos patients des ani­ma­tions au sein de l’établissement sous la forme de stands d’informations et d’ateliers (danse thérapie, sophrolo­gie, …) répar­tis tout au long du jour. Cette journée a été l’occasion pour toutes les per­son­nes con­cernées par la mal­adie de s’informer, de dis­cuter avec les pro­fes­sion­nels de san­té de l’Hôpital Foch et de décou­vrir des soins de sup­port pour les aider et les accompagner.

Une prise en charge glob­ale des patients parkinsoniens

Très impliqué dans cette mal­adie, le ser­vice de neu­rolo­gie prend en charge en deux­ième recours les patients parkin­soniens et leur offre toutes les ressources et thérapeu­tiques néces­saires pen­dant leur par­cours de soins.

Au sein de notre ser­vice, vos patients ont accès à une prise en charge glob­ale entière­ment dis­pen­sée sur place (prise en charge médi­cale, sociale, thérapeu­tiques, chirurgicale, …).

En com­plé­ment des thérapeu­tiques de 2ème ligne (dont les pom­pes à apo­mor­phine et duodopa), les neu­ro­logues et neu­rochirurgiens de l’Hôpital Foch pro­posent égale­ment des thérapeu­tiques chirur­gi­cales sous neu­rostim­u­la­tion avec les derniers équipements d’imagerie et de matériel implanta­bles. Pour le con­fort des patients, ces inter­ven­tions se font sous anesthésie générale.

Une com­mu­ni­ca­tion ville-hôpi­tal priv­ilégiée pour une meilleure prise en charge

Depuis de nom­breuses années, le ser­vice de neu­rolo­gie a mis en place des actions pour ren­forcer les liens entre les pro­fes­sion­nels de san­té de la ville et de l’hôpital et faciliter la com­mu­ni­ca­tion entre eux en amont et aval de l’hospitalisation des patients.

Ain­si, si vous souhaitez un avis pour un de vos patients ou l’adresser directe­ment pour une prise en charge médi­cale ou chirur­gi­cale de 2nd recours, vous pou­vez con­tac­ter le ser­vice de neu­rolo­gie par mail à l’adresse suiv­ante : mouvement.doc@hopital-foch.com (email exclu­sive­ment réservé aux médecins et phar­ma­ciens de ville).

Vous aurez égale­ment la pos­si­bil­ité de par­ticiper (en visio) à une Réu­nion de Con­cer­ta­tion Pluridis­ci­plinaire (RCP) du ser­vice de neu­rolo­gie pour présen­ter et dis­cuter du dossier médi­cal d’un de vos patients.

N’hésitez pas à pren­dre con­tact avec les médecins du ser­vice de neu­rolo­gie pour vos patients : Pr Béchir Jar­raya, Dr Valérie Mes­nage et Dr Cécil­ia Bonnet.

La mal­adie rénale chronique est une mal­adie fréquente et grave, à forts enjeux de san­té publique. On estime que 7 à 10 % de la pop­u­la­tion française présen­terait une mal­adie rénale, indo­lente le plus sou­vent. Son dépistage reste insuff­isant, la décou­verte se faisant le plus sou­vent aux stades avancés de la maladie.

À l’oc­ca­sion de la semaine nationale du rein, un pod­cast ani­mé par la jour­nal­iste san­té Jessy­ca Falour fait le point sur l’in­suff­i­sance rénale chronique.

Autour de Jessy­ca Falour, le Dr Léi­la Tri­cot, néphro­logue à l’Hôpital Foch, Dr Chris­t­ian Renou, médecin général­iste au cen­tre de san­té Foch-La Défense et Del­phine Bail­ly, infir­mière en pra­tique avancée dans le ser­vice de néphrolo­gie de l’Hôpi­tal Foch, nous expliquent l’in­suff­i­sance rénale chronique, son dépistage et sa prise en charge et échangent sur le par­cours de soins en ville et à l’hôpital.

À vos écou­teurs… Cliquez ici pour écouter le podcast

Pod­cast réal­isé avec le sou­tien insti­tu­tion­nel d’Astra-Zeneca.

Depuis le mois de jan­vi­er 2023, le cen­tre de san­té Foch-La Défense pro­pose des con­sul­ta­tions de chirurgie orthopédique dans ses locaux.

Trois chirurgiens orthopédiques de l’Hôpital Fran­co-bri­tan­nique de Lev­al­lois-Per­ret, se sont joints à l’équipe médi­cale déjà présente, et assurent tous les lundis, une con­sul­ta­tion d’orthopédie dans le cadre de chirur­gies pro­gram­mées (pre­mière con­sul­ta­tion et con­sul­ta­tions  de suivi).

Spé­cial­isés dans les mem­bres inférieurs, ces médecins pren­nent en charge des patholo­gies dégénéra­tives de la per­son­ne âgée (arthrose, patholo­gies des artic­u­la­tions, …) mais égale­ment des patholo­gies de trau­ma­tolo­gie sportive et d’accidents de la vie courante.

Les chirur­gies sont pra­tiquées au sein de l’Hôpital Fran­co-Bri­tan­nique (Lev­al­lois-Per­ret).

Les patients de la Défense et alen­tour peu­vent pren­dre dès à présent ren­dez-vous sur Doc­tolib « Cen­tre de san­té Foch-la Défense » ou par télé­phone au 01.46.25.55.15.

Cen­tre de san­té Foch-La Défense ; 12 place des Reflets, 92400 Courbevoie.

A l’occasion de la semaine nationale du rein qui aura lieu du 4 au 11 mars 2023, le ser­vice de néphrolo­gie de l’hôpital Foch s’investit dans nom­breuses actions de sen­si­bil­i­sa­tion à l’insuffisance rénale chronique.

En parte­nar­i­at avec Rénif (Réseau de néphrolo­gie d’Ile-de-France) et avec le sou­tien de l’ARS, les médecins, les infirmiers/infirmières, et les aide-soignant(e)s du ser­vice de néphrolo­gie de l’Hôpital Foch seront présents toute la journée du jeu­di 9 mars au cen­tre de san­té Foch-La Défense (12 place des Reflets, sur l’esplanade de la Défense) pour accueil­lir et dépis­ter toutes les per­son­nes qui le souhait­ent de 9h00 à 18h00.

En com­plé­ment de cette journée de dépistage, un nou­v­el épisode du Pod­cast « regards croisés » se con­sacre à l’insuffisance rénale chronique et sa prise en charge par les pro­fes­sion­nels de san­té de la ville et de l’Hôpital Foch. Cet épisode est l’occasion de met­tre en lumière les liens et coopéra­tions qui s’instaurent entre eux pour une meilleure prise en charge des patients.

Au cours de pod­cast ani­mé par la jour­nal­iste san­té Jessy­ca Falour, le Dr Léi­la Tri­cot, néphro­logue à l’Hôpital Foch et Dr Chris­t­ian Renou, médecin général­iste au cen­tre de san­té Foch-La Défense, parta­gent avec nous leur rôle et leur vision de la prise en charge d’un patient souf­frant de cette mal­adie, et échangent sur le par­cours de soins en ville et à l’hôpital.

A vos écou­teurs …. (cliquez ici pour écouter le podcast)

Pour plus d’informations sur la journée de dépistage du 9 mars 2023 qui aura lieu au cen­tre de san­té Foch-La Défense, vous pou­vez con­tac­ter le ser­vice de néphrolo­gie de l’Hôpital Foch au 01.46.25.22.99 (numéro de télé­phone du ser­vice de néphrolo­gie pour les avis télé­phoniques, urgences et con­seils pour les pro­fes­sion­nels de san­té de ville).

Pod­cast réal­isé avec le sou­tien d’Astra-Zeneca

Le groupe de Tra­vail San­té Sex­uelle de la CPTS en parte­nar­i­at avec le réseau San­té Sex­uelle (anci­en­nement Réseau Ville Hôpi­tal RVH) pro­pose à l’at­ten­tion des médecins général­istes du ter­ri­toire une for­ma­tion sur la PrEP (Pre Expo­sure Pro­phy­lax­is) en médecine de ville : Indi­ca­tion, com­ment l’abor­der en con­sul­ta­tion, pour quel patient, com­ment l’ini­ti­er et assur­er le suivi.

La réu­nion aura lieu :

le Jeu­di 23 Mars à 20h00
à l’am­phithéâtre Cheva­lier de l’Hôpi­tal Foch

(Acces­si­ble par le 44 rue Des­bas­sayns de Richemont)

Pro­gramme détaillé : 

 1. Indi­ca­tion de la PreP, com­ment l’aborder en con­sul­ta­tion, pour quel patient, com­ment ini­ti­er et assur­er le suivi — Dr. Cather­ine Majerholc

 2. Point d’ac­tu­al­ité sur les IST — Dr. David Zucman

 3. Vac­ci­na­tion dans le cadre de la PreP / san­té sex­uelle — Dr. Camille Charpentier

Un buf­fet sera servi à l’accueil de la formation.

Pour des ques­tions d’organisation, nous vous remer­cions par avance de bien vouloir nous con­firmer votre présence par mail à cpts.suresnes@gmail.com.

Con­nais­sez-vous l’hô­tel hospitalier ? 

L’hôtel hos­pi­tal­ier est un mod­èle d’hébergement tem­po­raire non médi­cal­isé, qui se développe aujourd’hui en France, et qui est des­tiné à accueil­lir des patients autonomes dont l’é­tat de san­té ne néces­site pas une sur­veil­lance con­tin­ue, mais qui doivent rester à prox­im­ité de leur étab­lisse­ment de santé.

L’Hôpi­tal Foch tra­vaille en parte­nar­i­at avec la plate­forme My Hos­pi­tel pour sim­pli­fi­er vos réser­va­tions dans un hôtel hospitalier.

Vous voulez savoir si vous pou­vez en béné­fici­er ? N’hésitez pas à regarder la vidéo ci-dessous.

À tra­vers une série de pod­casts sur le thème « Regards croisés » ani­més par la jour­nal­iste san­té Jessy­ca Falour, les pro­fes­sion­nels de l’Hôpi­tal Foch et de la ville parta­gent leurs savoirs et exper­tis­es par patholo­gie, échangent sur leurs pra­tiques et ren­for­cent ain­si le lien entre la ville et l’hôpital indis­pens­able pour affron­ter la crise san­i­taire actuelle. 

L’essentiel de l’expertise ville-hôpi­tal en 15 minutes

D’une durée de 15 min, ces pod­casts peu­vent être facile­ment écoutés à tout moment dans le cab­i­net médi­cal ou pen­dant un déplace­ment entre 2 vis­ites à domicile.

Deux­ième épisode : la prise en charge du patient diabétique

Dans ce nou­v­el épisode, le Dr Yas­mine Abdel­laoui, dia­bé­to­logue et endocrino­logue à l’Hôpital Foch et Dr Gwla­dys Bot­teau-Bail­lon, médecin général­iste à Suresnes, parta­gent avec nous leur rôle et leur vision de la prise en charge d’un patient souf­frant de cette mal­adie, et échangent sur le par­cours de soins en ville et à l’hôpital.

À vos écou­teurs… Cliquez ici pour écouter le podcast

Si vous souhaitez par­ticiper à un prochain épisode de « Regards croisés » ou sug­gér­er un thème, n’hésitez pas à écrire à Flo­rence van Steen­brug­ghe : f.van-steenbrugghe@hopital-foch.com

Episode réal­isé avec le sou­tien insti­tu­tion­nel de Lilly

La mal­adie rénale chronique est une mal­adie fréquente et grave, à forts enjeux de san­té publique :

  • On estime que 7 à 10 % de la pop­u­la­tion française présen­terait une mal­adie rénale, indo­lente le plus sou­vent. Son dépistage reste insuff­isant, la décou­verte se faisant le plus sou­vent aux stades avancés de la maladie ;
  • Le risque d’évolution vers le stade dit de sup­pléance (néces­si­tant la dial­yse chronique ou une greffe rénale) est faible dans l’absolu : la pré­va­lence de l’insuffisance rénale chronique ter­mi­nale (IRCT) est ain­si de l’ordre de 1 per­son­ne pour 1 000 habi­tants – mais c’est l’arbre qui cache la forêt : une insuff­i­sance rénale chronique même mod­érée aug­mente le risque d’événements et de mor­tal­ité cardiovasculaires ;
  • Le nom­bre de patients sous traite­ment de sup­pléance aug­mente de manière régulière, d’environ 4 % chaque année. Fin 2020, on dénom­brait 92199 malades en traite­ment de sup­pléance, dont 55 % en dial­yse et 45 % por­teurs d’un gref­fon rénal fonc­tion­nel1. L’hypertension artérielle chronique et le dia­bète sont respon­s­ables à eux seuls de près d’un cas sur deux.
  • Le coût de prise en charge des patients en traite­ment de sup­pléance pour l’assurance mal­adie est élevé, dépas­sant 4 mil­liards d’euros (82% de ce mon­tant étant con­sacrés à la dialyse).

Nous sommes tous con­cernés par l’insuffisance rénale chronique.

La Semaine Nationale du Rein est une bonne occa­sion de se faire dépis­ter. En cas d’anomalie, une prise en charge pré­coce est possible.

La Semaine nationale du Rein vise aus­si plus large­ment à sen­si­bilis­er le grand pub­lic aux prob­lé­ma­tiques rel­a­tives aux mal­adies rénales.

Pourquoi se faire dépister ?

La mal­adie rénale est dite « silen­cieuse » car elle ne donne aucun symp­tôme, sauf à un stade très avancé de la mal­adie. Aujourd’hui en France, plus d’un tiers des per­son­nes débu­tent en urgence un traite­ment de sup­pléance (greffe ou dialyse).

Un dépistage pré­coce per­met une prise en charge appro­priée qui ralen­ti­ra l’évolution vers une insuff­i­sance rénale dite « terminale ».

A l’occasion de la semaine nationale du rein qui aura lieu du 4 au 11 mars prochain, le ser­vice de néphrolo­gie de l’hôpital Foch pro­pose un dépistage gra­tu­it des mal­adies du rein.

En parte­nar­i­at avec Rénif (Réseau de néphrolo­gie d’Ile-de-France) et avec le sou­tien de l’ARS, les médecins, les infirmiers/infirmières, et les aide-soignant(e)s du ser­vice de néphrolo­gie de l’Hôpital Foch seront présents toute la journée du jeu­di 9 mars au cen­tre de san­té Foch-La Défense (12 place des Reflets, sur l’esplanade de la Défense) pour accueil­lir et dépis­ter toutes les per­son­nes qui le souhait­ent de 9h00 à 18h00.

A l’aide d’un auto-ques­tion­naire, de la mesure de la pres­sion artérielle, et d’un test par ban­delette uri­naire, une pre­mière éval­u­a­tion pour­ra être faite, com­plétée chaque fois que ce sera néces­saire par un cour­ri­er ori­en­tant vers le médecin général­iste et prodiguant des con­seils si des exa­m­ens com­plé­men­taires sim­ples sont néces­saire (analyse de sang, échogra­phie, etc.).

Le dépistage sera accom­pa­g­né de recom­man­da­tions et d’informations médi­cales et hygiéno-diététiques.

Rapi­de et sim­ple mais pré­cis, ce dépistage est essen­tiel pour détecter des cas mécon­nus de mal­adie rénale chronique. Il con­tribue aus­si à sen­si­bilis­er la pop­u­la­tion à cette affec­tion silen­cieuse mais pou­vant avoir de graves réper­cus­sions au long cours.

Pour plus d’informations sur la journée de dépistage du 9 mars 2023 qui aura lieu au cen­tre de san­té Foch-La Défense, vous pou­vez con­tac­ter le ser­vice de néphrolo­gie de l’Hôpital Foch au 01.46.25.22.99 (numéro de télé­phone du ser­vice de néphrolo­gie pour les avis télé­phoniques, urgences et con­seils pour les pro­fes­sion­nels de san­té de ville).

Jeu­di 9 mars 2023 : Journée de dépistage des mal­adies du rein, Cen­tre de san­té Foch-La Défense (12 place des Reflets, 92400 Courbevoie)

1 Rap­port REIN 2020